Le World Competitiveness Ranking publie ses résultats pour la septième fois.
Au total, 69 pays ont été évalués selon les dimensions suivantes: performance économique, efficacité gouvernementale, environnement des affaires et infrastructure.
Les résultats de cette année ont été publiés en juin…
La Suisse de nouveau à la première place!
Pour la septième fois dans le top 3 – et de nouveau numéro un!
La Suisse conserve la tête du classement, en particulier grâce à sa forte efficacité gouvernementale et à son infrastructure de qualité. Cela englobe un réseau ferroviaire dense, un approvisionnement énergétique fiable et des réseaux numériques ultramodernes. En parallèle, le pays doit faire face au défi du coût de la vie élevé.
Performance économique
En matière de performance économique, la Suisse occupe la 13e place (score 63,9).
Les moteurs de croissance sont notamment les exportations robustes et une conjoncture intérieure stable. On constate cependant qu’il pourrait y avoir davantage d’investissements dans des domaines d’avenir comme les technologies vertes ou la recherche en intelligence artificielle.
L’efficacité à la suisse
Dans la catégorie Business Efficiency, la Suisse se classe 6e (score 90,6). Les entreprises suisses combinent des procédés de production ultramodernes à un réseau PME bien interconnecté. Toutefois, la hausse des coûts, des salaires élevés et des prix de l’immobilier freinent la compétitivité – ce qui ouvre aussi de nouvelles marges de manœuvre.
Tendances mondiales
D’autres régions comme l’Asie de l’Est, l’Europe de l’Ouest, l’Asie de l’Ouest, l’Afrique ou l’Amérique du Sud progressent à vive allure et rattrapent leur retard.
L’efficacité gouvernementale est souvent considérée comme un levier clé pour contrer les inégalités sociales et stimuler une économie faible. Une monnaie forte peut aussi être un indicateur de croissance dans un monde fragmenté.
Conclusion: Rester en tête!
Pour conserver la première place, il devient essentiel de soutenir les start-ups, de développer des stratégies durables et de renforcer la numérisation. Cela passe aussi par une meilleure conciliation entre objectifs économiques et écologiques.
Source et informations complémentaires
Remarque: Les données mentionnées dans cet article proviennent du World Competitiveness Ranking 2025 de l’International Institute for Management Development (IMD) à Lausanne.
Pour plus d’informations: www.imd.org
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